La durée du premier épisode de la série Fallujah suscite la polémique parmi les téléspectateurs

En cette première nuit bénie du mois de Ramadan, l’épisode inaugural de la série Fallujah a suscité étonnement et interrogations en raison de sa durée inhabituelle. L’épisode a duré environ une heure et demie, incitant de nombreux spectateurs à se demander pourquoi cette prolongation non conventionnelle dans la diffusion d’un épisode qui, à l’origine, ne devait durer que 30 minutes.


série Fallujah suscite la polémique parmi les téléspectateurs

La Longueur de l’Épisode et Ses Répercussions

Les utilisateurs des réseaux sociaux en Tunisie ont exprimé leur mécontentement face à la longueur de l’épisode de la série Fallujah, certains se demandant si la chaîne El Hiwar El Tounsi avait décidé de diffuser à la fois le premier et le dernier épisode de la série, ou si elle l’avait transformé en un long métrage.

Stratégie d’Attraction des Téléspectateurs

Il semble que cette durée inhabituelle vise à attirer les téléspectateurs pendant la plus longue période possible lors de la première diffusion de la série, qui a connu un grand succès l’année précédente. Cette décision intervient dans un contexte de concurrence féroce avec la diffusion d’autres œuvres dramatiques sur plusieurs autres chaînes.

Réactions et Impact Potentiel

En présentant une œuvre dramatique prolongée au cours des premières nuits du Ramadan, certains voient ce mouvement comme une tactique réussie et réfléchie pour capter l’attention des téléspectateurs, surtout à un moment où le Ramadan offre une occasion exceptionnelle d’attirer le public.

Réaction Officielle et Défis

D’un autre côté, la décision de certaines chaînes nationales, telles que la première chaîne nationale, de ne pas rediffuser leurs œuvres dramatiques au même moment a suscité des critiques, certains considérant cela comme une lacune dans la stratégie de communication et de marketing.

Défis Futurs

Il semble que cette décision puisse menacer l’attrait des téléspectateurs et les taux d’audience pendant le mois de Ramadan, incitant certains critiques à souligner la nécessité pour les chaînes nationales d’être un service public qui propose une diversité de contenus inclusifs sans discrimination.

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